Date de sortie 22 décembre 2014
Issued december, 22, 2014
Crédits
Cédric Pannet Brenner - Leonard de Vinci
Séverine Berthelot - Valérie Mastrangelo Mona Lisa
-Hugo Rossello chef operateur, etalonneur, vfx
- - Jean Thomas Miquelot - ass camera
-Victor Loeillet - boom operator inge son
-Elise Vernant - Montage image
-Vincent Raffaitin sound designer montage mixage son- Guillaume Rieu - Raphaël Beauville Merci à : Gigi, Papaye, Jean Charles Derennes, Grégory Alonso, Samantha Penne, Philippe Héliès, Guildane et Serena Ratti.
Et si Mona Lisa n’avait pas posé pour Léonard de Vinci ?
What if Mona Lisa wasn't the model for Leonardo da Vinci ?
Crédits
Sévérine A. BERTHELOT Mona Lisa
Valérie MASTRANGELO Mona Lisa
Cédric PANNET BRENNER Leonard de Vinci
Raphaël BEAUVILLE Producteur
Hugo ROSSELLO Chef Opérateur
Jean-Thomas Miquelot Assistant Opérateur
Victor LOEILLET Preneur de Son
Gigi BENIT Régisseuse Générale
Élise VERNANT Monteuse Image
Guillaume RIEU Animateur Effets Spéciaux
Hugo ROSSELLO Étalonneur
Vincent RAFFAITIN Monteur Son / Mixage
Note d'intention.
Je suis une icône a été réalisé dans le cadre du Nikon Film Festival sur le thème « Je suis un choix ».
L'idée du film est partie d'une conversation où je me demandais ce qu'il se passerait si certaines choses connues depuis toujours et par tous n'existaient pas.
De là est venue l'idée de La Joconde. Ce tableau si célèbre, si connu, même dans certains coins reculés de la planète. De plus en utilisant cette icône picturale je pouvais également parler de l'image que peut véhiculer la femme. A quoi cela tient-il ? Est-ce que la femme est obligatoirement, dans un inconscient collectif, un objet de contemplation à caractère sensuel, voire sexuel ?
Je me suis appuyé sur ce point précis pour expliquer la décision de « ma Mona Lisa » fictive refusant de poser pour Leonard de Vinci.
J'ai souhaité amener à la photo de ce film tout l'univers du tableau. J'ai voulu que l'éclairage soit inspiré de la technique « sfumato » utilisé par le peintre sur la toile.
J'ai choisi que les personnages soient flouttés lorsqu'ils sont dans l'axe, afin de les suggérer au public sans les imposer. Léonard de Vinci et Mona Lisa sont des visages plus que connus, et le fait de ne pas vouloir imposer ceux des acteurs permettait de laisser planer le doute sur le fait que cette histoire que j'ai choisi de raconter puisse être réelle ou non.
Je voulais que le spectateur respire le feu de bois, la cire des bougies, le fusain, l'huile de la peinture, le courant d'air traversant les bâtisses de l'époque.
Qu'il soit plongé dans l'atelier de Leonard de Vinci à Florence en 1505.
C'est aussi pour cela que le film est en italien, pour renforcer cette authenticité et cette notion de réalité.
Alors, et si Mona Lisa n'avait pas posé pour Léonard de Vinci ?
Crédits
Sévérine A. BERTHELOT Mona Lisa
Valérie MASTRANGELO Mona Lisa
Cédric PANNET BRENNER Leonardo deaVinci
Raphaël BEAUVILLE Producer
Hugo ROSSELLO Director of Photography
Jean-Thomas Miquelot Camera Assistant
Victor LOEILLET Sound Recordist
Gigi BENIT Location Manager
Élise VERNANT Editor
Guillaume RIEU Animation Special Effects
Hugo ROSSELLO Colorist
Vincent RAFFAITIN Sound Design
Diector’s Statement
« I am an Icon » was produced as part of the Nikon film Festival, edition 2014, with the theme, « I am a choice ».
The idea came with a conversation about what if things we know exist since always never were.
The idea of « La Joconde » popped up.: the worldwide renowned painting, even in far out regions of the planet.. Using this icon painting I could also talk about the image women can convey . What would it reveal ? Is the woman necessarily, in the collective unconscious, a sensual nature contemplation object, even sexual ?
I based my aim on this special point to explain the decision of « my imaginary Mona Lisa » refusing to be Leonardo da Vinci’s model.
I wished to bring to the film’s image the original painting’s atmosphere , and the « sfumato » lighting technic used by the painter on his canvas.
I have chosen to blur the characters when they are focused, to suggest them and not impose them to the audience. The faces of Leonardo da Vinci and Mona Lisa are more than familiar, de fact of not insisting on the actors’ faces leaves the choice to believe or doubt that my story is real or not.
I want the audience to smell the wood fire, the candle wax, the charcoal, the painting oil, the airstream running trough the aged walls.
Being immersed in Leonardo da Vinci ’s workshop, Florence in 1505.
It’s also why the film is in Italian, to re-enforce the authenticity and the realistic notion.
So, What if Mona Lisa wasn't the model for Leonardo da Vinci ?